Apolline Reymond, chargée de projets internationaux : "notre salle à manger est devenue un espace de co-working familial"
le 3 avril 2020
Chargée de projets internationaux, Apolline Reymond partage son espace de travail avec son mari et sa fille de 3 ans et demi depuis le 17 mars. Elle raconte comment la vie professionnelle et la vie familiale se sont réorganisées.
Apolline travaille au sein du pôle Partenariats et projets de coopération (Direction de la coopération internationale) où elle a en charge la coordination des projets internationaux et l'accompagnement de leurs porteurs dans la recherche de financements et de partenaires.
Apolline s'est rapidement adaptée au télétravail, en effet depuis 1 an, elle avait fait le choix de télétravailler une journée par semaine. "J’avais donc déjà l’espace réservé pour ça à la maison" précise-t-elle. Ce qui a vraiment changé pour Apolline c'est de devoir partager cet espace avec mari et enfant ! "La première semaine ça a été vraiment compliqué : on était tous les deux dans des urgences professionnelles dûes à la situation, et en plus nous devions apprendre à gérer l'école à la maison !". Petit à petit, les choses se mettent en place, les espaces se redessinent : "notre salle à manger est devenue un espace de co-working familial." s'amuse-t-elle. Et aujourd'hui ils ont trouvé un rythme : "on a une plage de travail en commun quand la petite fait la sieste, puis lorsqu'elle est réveillée on alterne pour s'occuper d'elle en fonction des impératifs de chacun".
La clé de la réussite pour Apolline c'est de garder le rythme d'une journée de travail classique. "Comme on a dédié une pièce au travail c'est plus facile de structurer la journée. Lorsque l'on sort de cette pièce, la journée est finie, c'est comme sortir du bureau ! Le reste de l'appartement c’est notre espace de vie familiale" explique-t-elle.
Apolline et ses collègues du pôle Partenariats et projets de coopération réunies en visio pour un point d'équipe.
Pour maintenir le lien avec ses collègues, elle utilise la messagerie instantanée : "nous avons un groupe whatsapp pour l'ensemble des 12 collaborateurs du pôle et puis en complément des groupes thématiques sur des projets pour ne pas polluer le fil principal".
Quant aux réunions d’équipe hebdomadaires, elles se tiennent comme à l’accoutumée mais en visio ! Des temps conviviaux sont également institutionnalisés : "nous avons planifié deux pauses café d'une demie heure par semaine. Viens qui veut !".
Ce qui lui manque le plus ? Les temps d'isolement : "des plages horaires où l'on arrive à se poser seul, loin des autres !" ironise Apolline.
Apolline s'est rapidement adaptée au télétravail, en effet depuis 1 an, elle avait fait le choix de télétravailler une journée par semaine. "J’avais donc déjà l’espace réservé pour ça à la maison" précise-t-elle. Ce qui a vraiment changé pour Apolline c'est de devoir partager cet espace avec mari et enfant ! "La première semaine ça a été vraiment compliqué : on était tous les deux dans des urgences professionnelles dûes à la situation, et en plus nous devions apprendre à gérer l'école à la maison !". Petit à petit, les choses se mettent en place, les espaces se redessinent : "notre salle à manger est devenue un espace de co-working familial." s'amuse-t-elle. Et aujourd'hui ils ont trouvé un rythme : "on a une plage de travail en commun quand la petite fait la sieste, puis lorsqu'elle est réveillée on alterne pour s'occuper d'elle en fonction des impératifs de chacun".
La clé de la réussite pour Apolline c'est de garder le rythme d'une journée de travail classique. "Comme on a dédié une pièce au travail c'est plus facile de structurer la journée. Lorsque l'on sort de cette pièce, la journée est finie, c'est comme sortir du bureau ! Le reste de l'appartement c’est notre espace de vie familiale" explique-t-elle.
Apolline et ses collègues du pôle Partenariats et projets de coopération réunies en visio pour un point d'équipe.
Pour maintenir le lien avec ses collègues, elle utilise la messagerie instantanée : "nous avons un groupe whatsapp pour l'ensemble des 12 collaborateurs du pôle et puis en complément des groupes thématiques sur des projets pour ne pas polluer le fil principal".
Quant aux réunions d’équipe hebdomadaires, elles se tiennent comme à l’accoutumée mais en visio ! Des temps conviviaux sont également institutionnalisés : "nous avons planifié deux pauses café d'une demie heure par semaine. Viens qui veut !".
Ce qui lui manque le plus ? Les temps d'isolement : "des plages horaires où l'on arrive à se poser seul, loin des autres !" ironise Apolline.
Publié le 3 avril 2020
Mis à jour le 8 avril 2020
Mis à jour le 8 avril 2020
Apolline Reymond
> Chargée de projets internationaux en télétravail
> Confinée avec son mari et sa fille de 3 ans 1/2
> Confinée avec son mari et sa fille de 3 ans 1/2
